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Albes draps : à la manière de Paul Verlaine
de Paul Reboux, Charles Müller
p. 51 à à 53
Le pastiche s'attaque à l'image du poète maudit, rejeté par la société bourgeoise et qui est le cliché romantique par excellence. Cet ostracisme est secellé au frontispice des "poètes maudits" de Verlaine et la pastiche de rebous et Müller s'inscrit dans cette veine, dessinant le portrait d'un créateur malade, sans ressources et doué pour la mélancolie - mais une mélancolie tempérée voire annulée par le recours au registre comique.
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