Lorsque j'étais une oeuvre d'art
de Eric-Emmanuel Schmitt Albin Michel, 2002, 252 p. Un homme désespéré souscrit un pacte très faustien avec un artiste démoniaque. Tu me donnes ta vie, en échange je lui donnerai un sens puisque aujourd'hui elle n'en a pas. Le candidat au suicide devient donc un objet dans les mains de l'artiste qui décide d'en faire l'uvre d'art la plus étonnante et la plus parachevée au monde, à savoir Adam bis, une statue qui possèderait le mérite et la supériorité incontestables d'être vivante. Succès garanti. Adam bis devient plus célèbre que La Joconde. Mais qu'on le prive de sa liberté et du droit à la conscience, et tout de suite l'homme commence à résister. Un peu cette fois-ci à la façon de Frankenstein, la créature décide d'échapper à son créateur afin de reconquérir sa liberté perdue. Cette fable excentrique, inquiétante et comique nous entraîne dans un monde rongé par le narcissisme, le culte du simulacre et de lapparence, le totalitarisme de limage : le nôtre. |
Schmitt Eric-Emmanuel.
Lorsque j'étais une oeuvre d'art.
Albin Michel, 2002, 252 p.
Titre : | Lorsque j'étais une oeuvre d'art |
Auteurs : | Eric-Emmanuel Schmitt, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Albin Michel, 2002 |
ISBN/ISSN : | 978-2-253-10958-7 |
Format : | 252 p. |
Note générale : | |
Langues: | Français |
Index. décimale : | R (Romans) |
Descripteurs : |
Motbis 21e siècle / France / littérature |
Résumé : |
Un homme désespéré souscrit un pacte très faustien avec un artiste démoniaque. Tu me donnes ta vie, en échange je lui donnerai un sens puisque aujourd'hui elle n'en a pas. Le candidat au suicide devient donc un objet dans les mains de l'artiste qui décide d'en faire l'uvre d'art la plus étonnante et la plus parachevée au monde, à savoir Adam bis, une statue qui possèderait le mérite et la supériorité incontestables d'être vivante. Succès garanti. Adam bis devient plus célèbre que La Joconde. Mais qu'on le prive de sa liberté et du droit à la conscience, et tout de suite l'homme commence à résister. Un peu cette fois-ci à la façon de Frankenstein, la créature décide d'échapper à son créateur afin de reconquérir sa liberté perdue.
Cette fable excentrique, inquiétante et comique nous entraîne dans un monde rongé par le narcissisme, le culte du simulacre et de lapparence, le totalitarisme de limage : le nôtre. |
Nature du document : | fiction |
Genre : | roman |
Date de création : | 04/11/2010 |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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R SCH | Romans | C.D.R. | 012315 | Disponible |