Salam Ouessant
de Azouz Begag Magnard, 2013, 184 p. (Classiques & contemporains) Un père emmène ses deux filles en vacances dété à Ouessant. Il se remet mal de son divorce, davoir perdu leur garde, narrive pas à leur dire quils sont là en souvenir dun ami denfance à Lyon, originaire de lîle natale, qui prenait sa défense quand on le traitait dArabe ou détranger. Lui sest toujours senti lyonnais même sil garde la nostalgie des départs sur le Ville de Marseille lété pour Alger. La pluie incessante, le regret des filles davoir quitté leur mère, la mélancolie quil essaie dendiguer à coups denjouements surfaits et de promenades à vélo, la rencontre dune belle rousse quil aurait pu aimer, lémouvante confession du loueur de vélos font de cette semaine bretonne à la fois un hors temps, un examen de passage familial et une mise au point pour ce père déboussolé qui veut avant tout être aimé. Comme dans tous ses romans, plus ou moins autobiographiques, Begag y évoque le paradoxe dêtre dorigine maghrébine, considéré comme étranger et qui plus est arabe, donc en gros voleur de pain des Français de souche |
Begag Azouz.
Salam Ouessant.
Magnard, 2013, 184 p.
(Classiques & contemporains).
Titre : | Salam Ouessant |
Auteurs : | Azouz Begag, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Magnard, 2013 |
Collection : | Classiques & contemporains |
ISBN/ISSN : | 978-2-210-75578-9 |
Format : | 184 p. |
Index. décimale : | R (Romans) |
Descripteurs : |
Motbis 21e siècle / France / littérature |
Résumé : |
Un père emmène ses deux filles en vacances dété à Ouessant. Il se remet mal de son divorce, davoir perdu leur garde, narrive pas à leur dire quils sont là en souvenir dun ami denfance à Lyon, originaire de lîle natale, qui prenait sa défense quand on le traitait dArabe ou détranger. Lui sest toujours senti lyonnais même sil garde la nostalgie des départs sur le Ville de Marseille lété pour Alger. La pluie incessante, le regret des filles davoir quitté leur mère, la mélancolie quil essaie dendiguer à coups denjouements surfaits et de promenades à vélo, la rencontre dune belle rousse quil aurait pu aimer, lémouvante confession du loueur de vélos font de cette semaine bretonne à la fois un hors temps, un examen de passage familial et une mise au point pour ce père déboussolé qui veut avant tout être aimé.
Comme dans tous ses romans, plus ou moins autobiographiques, Begag y évoque le paradoxe dêtre dorigine maghrébine, considéré comme étranger et qui plus est arabe, donc en gros voleur de pain des Français de souche |
Nature du document : | fiction |
Thème de fiction : | amour paternel/divorce/Identité |
Date de création : | 27/05/2014 |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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R BEG | Romans | C.D.R. | 017737 | Disponible |