La Locandiera
de Carlo Goldoni Hachette, 1993, 223 p. (Classiques Hachette) Résumé : Dans une auberge de Florence, vers le milieu du XVIIIe siècle, un marquis et un comte rivalisent de grâces auprès de la maîtresse des lieux dont ils voudraient l'un et l'autre obtenir les faveurs. Mais l'hôtelière, Mirandolina, prête davantage d'attention à un autre de ses clients, un chevalier misogyne et rugueux, plein de morgue à son endroit : pour venger l'affront qu'il fait à son sexe, elle se met en tête de le séduire - afin de le berner. Jouée pour la première fois le 26 décembre 1752, La Locandiera doit beaucoup à la figure centrale de Mirandolina dont la faconde, le charme et le talent de simulation ne font pas oublier la face d'ombre que le chevalier finit par découvrir, tardivement et à ses dépens. Son caractère, ainsi, se construit sous nos yeux, et justifie la remarque de Stendhal qui disait de Goldoni que ses personnages " tournent " et " vivent ". |
Goldoni Carlo.
La Locandiera.
Hachette, 1993, 223 p.
(Classiques Hachette).
Titre : | La Locandiera |
Auteurs : | Carlo Goldoni, Auteur ; Danièle Aron, Traducteur ; Michel Morisset, Annotateur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Hachette, 1993 |
Collection : | Classiques Hachette |
ISBN/ISSN : | 978-2-01-019083-4 |
Format : | 223 p. |
Langues: | Français |
Langues originales: | Italien |
Index. décimale : | T (Théâtre) |
Descripteurs : |
Motbis 18e siècle / Italie / théâtre |
Résumé : |
Résumé :
Dans une auberge de Florence, vers le milieu du XVIIIe siècle, un marquis et un comte rivalisent de grâces auprès de la maîtresse des lieux dont ils voudraient l'un et l'autre obtenir les faveurs. Mais l'hôtelière, Mirandolina, prête davantage d'attention à un autre de ses clients, un chevalier misogyne et rugueux, plein de morgue à son endroit : pour venger l'affront qu'il fait à son sexe, elle se met en tête de le séduire - afin de le berner. Jouée pour la première fois le 26 décembre 1752, La Locandiera doit beaucoup à la figure centrale de Mirandolina dont la faconde, le charme et le talent de simulation ne font pas oublier la face d'ombre que le chevalier finit par découvrir, tardivement et à ses dépens. Son caractère, ainsi, se construit sous nos yeux, et justifie la remarque de Stendhal qui disait de Goldoni que ses personnages " tournent " et " vivent ". |
Nature du document : | fiction |
Genre : | théâtre |
Thème de fiction : | amour |
Date de création : | 23/02/2015 |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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T GOL | Théâtre | C.D.R. | 018059 | Disponible |