Dossier : Visite de lieux aternatifs et patrimonialisation
In Espaces : tourisme et loisirs, 340 (janvier-février 2018), p.4-58 La notion de patrimoine englobe désormais des lieux alternatifs, non véritablement reconnus par les institutions culturelles, qui ont de la valeur pour la société. À Marseille et à Suresnes, lurbanisme social, longtemps ignoré, voire méprisé, devient le support danimations et de visites. À Lodz, en Pologne, un promoteur privé a transformé une friche industrielle en un vaste complexe mêlant commerce, tourisme, culture et loisirs. À Detroit, aux États-Unis, et à Charleroi, en Belgique, des agences emmènent les visiteurs dans les lieux abandonnés par la désindustrialisation. À Paris, Ground Control fait revivre de manière éphémère des friches ferroviaires tandis que la RATP fait découvrir son patrimoine caché ou méconnu. À New York, Berlin, Amsterdam ou en banlieue parisienne, le street art devient un facteur dattractivité territoriale Aujourdhui, cest la société elle-même (et non plus les seuls experts) qui décide de ce qui fait patrimoine. Le visiteur (résident ou touriste), par le regard quil leur porte, contribue à la patrimonialisation de ces lieux alternatifs. |
« Dossier : Visite de lieux aternatifs et patrimonialisation »
in Espaces : tourisme et loisirs, 340 (janvier-février 2018), p.4-58.
Titre : | Dossier : Visite de lieux aternatifs et patrimonialisation (2018) |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Espaces : tourisme et loisirs (340, janvier-février 2018) |
Article : | p.4-58 |
Descripteurs : |
Motbis animation culturelle / architecture urbaine / habitat urbain / patrimoine culturel / tourisme / urbanisme |
Mots-clés: | lieu alternatif / urbanisme social / friche industrielle / Marseille / Suresnes / Detroit / Charleroi / Paris / New York / Berlin / Amsterdam / RATP / street art/ |
Résumé : | La notion de patrimoine englobe désormais des lieux alternatifs, non véritablement reconnus par les institutions culturelles, qui ont de la valeur pour la société. À Marseille et à Suresnes, lurbanisme social, longtemps ignoré, voire méprisé, devient le support danimations et de visites. À Lodz, en Pologne, un promoteur privé a transformé une friche industrielle en un vaste complexe mêlant commerce, tourisme, culture et loisirs. À Detroit, aux États-Unis, et à Charleroi, en Belgique, des agences emmènent les visiteurs dans les lieux abandonnés par la désindustrialisation. À Paris, Ground Control fait revivre de manière éphémère des friches ferroviaires tandis que la RATP fait découvrir son patrimoine caché ou méconnu. À New York, Berlin, Amsterdam ou en banlieue parisienne, le street art devient un facteur dattractivité territoriale Aujourdhui, cest la société elle-même (et non plus les seuls experts) qui décide de ce qui fait patrimoine. Le visiteur (résident ou touriste), par le regard quil leur porte, contribue à la patrimonialisation de ces lieux alternatifs. |
Note de contenu : |
Au sommaire :
-Élargissement de la sphère patrimoniale. De la diversification des lieux de patrimoine à lengagement populaire -De la cité Saint-Louis aux tours Labourdette. Une aventure collective de patrimonialisation à Marseille -Lurbanisme social du XXe siècle à Suresnes. Un patrimoine qui se visite -L'association régionale des cités-jardins d'Île de France -Des friches en héritage. La réinvention du symbole industriel à Lodz (Pologne) -De lurbex au tourisme de ruines. Enjeux touristiques et patrimoniaux des espaces urbains abandonnés -Des safaris urbains à Charleroi, "la ville la plus laide du monde" -Lutopie réaliste de Ground Control. Transformer les friches en lieux de vie solidaires -À la découverte du patrimoine caché ou méconnu de la RATP -Le street art. Un art rebelle ignoré par les institutions culturelles -Fontenay-sous-Bois révèle son patrimoine éphémère |
Nature du document : | documentaire |
Date de création : | 05/02/2018 |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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380.81 ESP | Tourisme | C.D.R. | 022671 | Disponible |