Art de soigner : Précarité, ce qui sauve, c'est de faire un pas...
de Jean-Michel Bourelle In Santé mentale, 224 (janvier 2018), p.12-16 La prise en charge des personnes en grande vulnérabilité nécessite une adaptabilité sans faille des professionnels et du cadre d'intervention, sur le plan social et psychique. Le maintien du lien reste prioritaire et oblige à un seuil de tolérance relationnel. Illustration avec l'histoire de Lætitia. |
Bourelle Jean-Michel.
« Art de soigner : Précarité, ce qui sauve, c'est de faire un pas... »
in Santé mentale, 224 (janvier 2018), p.12-16.
Titre : | Art de soigner : Précarité, ce qui sauve, c'est de faire un pas... (2018) |
Auteurs : | Jean-Michel Bourelle, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Santé mentale (224, janvier 2018) |
Article : | p.12-16 |
Descripteurs : |
Motbis femme / foyer d'hébergement / précarité sociale / psychiatrie / santé / tolérance / toxicomanie |
Mots-clés: | SDF / souffrance psychique / vulnérabilité / lien social / hébergement des sans-abri / addiction / centre médico-psychologique / accompagnement |
Résumé : | La prise en charge des personnes en grande vulnérabilité nécessite une adaptabilité sans faille des professionnels et du cadre d'intervention, sur le plan social et psychique. Le maintien du lien reste prioritaire et oblige à un seuil de tolérance relationnel. Illustration avec l'histoire de Lætitia. |
Nature du document : | documentaire |
Date de création : | 07/02/2018 |