"je crie, j'écris la Révolution"
de Gilles Heuré In Télérama (Ed. parisienne), 3564 (05/05/2018), p.30-32 Analyse de l'attitude des écrivains pendant le mouvement de Mai 68 : l'adhésion "lointaine" des écrivains comme Joseph Kessel ou Louis Aragon au mouvement ; l'occupation du siège de la Société des gens de Lettres par un petit commando de très jeunes écrivains frondeurs comme Nathalie Sarraute et Michel Butor ; les différentes tendances politiques suivies par les écrivains en lutte contre l'ordre établi ; ce que Mai 68 a apporté de liberté et d'audace littéraire aux plus jeunes qui se sont affranchis des codes passés. |
Heuré Gilles.
« "je crie, j'écris la Révolution" »
in Télérama (Ed. parisienne), 3564 (05/05/2018), p.30-32.
Titre : | "je crie, j'écris la Révolution" (2018) |
Auteurs : | Gilles Heuré, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Télérama (Ed. parisienne) (3564, 05/05/2018) |
Article : | p.30-32 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
Motbis écrivain / Mai 1968 |
Résumé : | Analyse de l'attitude des écrivains pendant le mouvement de Mai 68 : l'adhésion "lointaine" des écrivains comme Joseph Kessel ou Louis Aragon au mouvement ; l'occupation du siège de la Société des gens de Lettres par un petit commando de très jeunes écrivains frondeurs comme Nathalie Sarraute et Michel Butor ; les différentes tendances politiques suivies par les écrivains en lutte contre l'ordre établi ; ce que Mai 68 a apporté de liberté et d'audace littéraire aux plus jeunes qui se sont affranchis des codes passés. |
Nature du document : | documentaire |
Genre : | Article de périodique |
Date de création : | 12/09/2018 |