L'impossible retour en terre natale
de Mathilde Blottière In Télérama (Ed. parisienne), 3646 (30/11/2019), p.32-36 Reportage en Palestine auprès du réalisateur Elia Suleiman à loccasion de la sortie de son film "It Must be Heaven" dans le monde arabe : la difficulté pour le cinéaste qui a longtemps vécu aux Etats-Unis et en France de revenir dans la ville de Ramallah où sillustrent les difficultés faites aux Palestiniens expropriés de leurs terres par les gouvernements israéliens successifs ; la volonté du cinéaste, comme de ceux qui soutiennent son cinéma, de faire un cinéma moderne et poétique, sans slogan politique, tout en résistant à lÉtat Israélien colonisateur ; le voyage du cinéaste dans sa ville natale de Nazareth où son film est accueilli avec la gravité des spectateurs qui ne voient plus aucune solution au conflit israélo-palestinien et restent enclavés en Israël sans être occupés ; la volonté pour le cinéaste de voir se poursuivre une résistance culturelle et pacifique des Palestiniens contre les dirigeants Israéliens illustrée par sa volonté de ne pas diffuser le film en Israël. |
Blottière Mathilde.
« L'impossible retour en terre natale »
in Télérama (Ed. parisienne), 3646 (30/11/2019), p.32-36.
Titre : | L'impossible retour en terre natale (2019) |
Auteurs : | Mathilde Blottière, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Télérama (Ed. parisienne) (3646, 30/11/2019) |
Article : | p.32-36 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
Motbis guerre israélo-arabe : 1948- / Palestine / réalisateur cinéma-télévision |
Mots-clés: | thème cinématographique |
Résumé : | Reportage en Palestine auprès du réalisateur Elia Suleiman à loccasion de la sortie de son film "It Must be Heaven" dans le monde arabe : la difficulté pour le cinéaste qui a longtemps vécu aux Etats-Unis et en France de revenir dans la ville de Ramallah où sillustrent les difficultés faites aux Palestiniens expropriés de leurs terres par les gouvernements israéliens successifs ; la volonté du cinéaste, comme de ceux qui soutiennent son cinéma, de faire un cinéma moderne et poétique, sans slogan politique, tout en résistant à lÉtat Israélien colonisateur ; le voyage du cinéaste dans sa ville natale de Nazareth où son film est accueilli avec la gravité des spectateurs qui ne voient plus aucune solution au conflit israélo-palestinien et restent enclavés en Israël sans être occupés ; la volonté pour le cinéaste de voir se poursuivre une résistance culturelle et pacifique des Palestiniens contre les dirigeants Israéliens illustrée par sa volonté de ne pas diffuser le film en Israël. |
Nature du document : | documentaire |
Genre : | Article de périodique/Enquête, reportage |
Date de création : | 05/03/2020 |