160 000 enfants : Violences sexuelles et déni social
de Edouard Durand Gallimard, 2024, 29 p. (Tracts) « Le corps des enfants, le corps des femmes, négociables ou non négociables ? » Le constat est effroyable, appuyé désormais sur dinnombrables témoignages : 160 000 enfants sont sexuellement violentés chaque année en France Elles sont là, à nos côtés, sous nos yeux, ces victimes, sajoutant à la foule des traumatisés dun passé qui ne passe pas. Quel crédit la société porte-t-elle à ces voix de souffrance, lorsquelles ont osé se faire entendre ? Le juge Édouard Durand, qui a dirigé les travaux de la Ciivise pendant trois ans avant de sen voir retirer la charge, a observé les mécanismes de déni encore à luvre dans la société. Il livre ici ses conclusions personnelles. Si, comme on lentend encore trop souvent, « tout le monde savait », cest que personne au fond ne voulait que ça se sache ; on préférerait que les victimes ne soient pas des victimes et que les criminels naient agressé personne. Mais entre limpunité et la justice, il faut choisir. La parole des victimes doit être entendue sans arrière-pensée ; cest là que tout commence, le premier geste non négociable de la protection de lenfance. On ne pourrait aujourdhui sy soustraire sans créer un immense malaise. |
Durand Edouard.
160 000 enfants : Violences sexuelles et déni social.
Gallimard, 2024, 29 p.
(Tracts).
Titre : | 160 000 enfants : Violences sexuelles et déni social |
Auteurs : | Edouard Durand, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Gallimard, 2024 |
Collection : | Tracts |
ISBN/ISSN : | 978-2-07-307192-7 |
Format : | 29 p. |
Index. décimale : | 362.7 (Action sociale et protection de l'enfance) |
Descripteurs : |
Motbis criminalité sexuelle / droits de l'enfant / enfance / enfant maltraité / France |
Résumé : | « Le corps des enfants, le corps des femmes, négociables ou non négociables ? » Le constat est effroyable, appuyé désormais sur dinnombrables témoignages : 160 000 enfants sont sexuellement violentés chaque année en France Elles sont là, à nos côtés, sous nos yeux, ces victimes, sajoutant à la foule des traumatisés dun passé qui ne passe pas. Quel crédit la société porte-t-elle à ces voix de souffrance, lorsquelles ont osé se faire entendre ? Le juge Édouard Durand, qui a dirigé les travaux de la Ciivise pendant trois ans avant de sen voir retirer la charge, a observé les mécanismes de déni encore à luvre dans la société. Il livre ici ses conclusions personnelles. Si, comme on lentend encore trop souvent, « tout le monde savait », cest que personne au fond ne voulait que ça se sache ; on préférerait que les victimes ne soient pas des victimes et que les criminels naient agressé personne. Mais entre limpunité et la justice, il faut choisir. La parole des victimes doit être entendue sans arrière-pensée ; cest là que tout commence, le premier geste non négociable de la protection de lenfance. On ne pourrait aujourdhui sy soustraire sans créer un immense malaise. |
Nature du document : | documentaire |
Thème de fiction : | guerre/histoire |
Date de création : | 03/10/2024 |
Exemplaires (2)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
362.7 DUR | Action sociale | C.D.R. | 030754 | Disponible |
362.7 DUR | Action sociale | C.D.R. | 030667 | Disponible |