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L'éternité n'est pas de trop
de François Cheng Albin Michel, 2002, 281 p. Ils n'ont échangé qu'un regard, un sourire peut-être et depuis trente ans bien que la vie les ait séparés, ils ne cessent de penser l'un à l'autre. Dao-sheng était un jeune musicien, Lan-ying, "Fine Orchidée" était fiancée à un seigneur local qui s'arrangea pour faire envoyer le jeune homme au bagne. Au bout de tant d'années, ils tentent de se rejoindre comme deux constellations éloignées que la course du ciel remet en présence. Lan-ying s'étiole, épouse délaissée minée par les chagrins et les épreuves, Dao-sheng a quitté le monastère taoiste où il a appris la médecine et la divination. En la soignant, Dao-sheng va pouvoir lui déclarer son amour. Tout les oppose, le rang, les conventions sociales. Le plus qu'ils puissent espérer c'est de se tenir la main, d'échanger furtivement un sourire mais qu'importe, ils ont l'éternité pour eux. Cet amour courtois plus fort que la mort est-il si différent de l'amour mystique que professent les premiers jésuites qui arrivent en Chine à cette époque de la fin de la dynastie Ming ? |
Cheng François.
L'éternité n'est pas de trop.
Albin Michel, 2002, 281 p.
Titre : | L'éternité n'est pas de trop |
Auteurs : | François Cheng, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Albin Michel, 2002 |
ISBN/ISSN : | 978-2-226-12702-0 |
Format : | 281 p. |
Index. décimale : | R (Romans) |
Descripteurs : |
Motbis 21e siècle / Chine / France / littérature |
Résumé : | Ils n'ont échangé qu'un regard, un sourire peut-être et depuis trente ans bien que la vie les ait séparés, ils ne cessent de penser l'un à l'autre. Dao-sheng était un jeune musicien, Lan-ying, "Fine Orchidée" était fiancée à un seigneur local qui s'arrangea pour faire envoyer le jeune homme au bagne. Au bout de tant d'années, ils tentent de se rejoindre comme deux constellations éloignées que la course du ciel remet en présence. Lan-ying s'étiole, épouse délaissée minée par les chagrins et les épreuves, Dao-sheng a quitté le monastère taoiste où il a appris la médecine et la divination. En la soignant, Dao-sheng va pouvoir lui déclarer son amour. Tout les oppose, le rang, les conventions sociales. Le plus qu'ils puissent espérer c'est de se tenir la main, d'échanger furtivement un sourire mais qu'importe, ils ont l'éternité pour eux. Cet amour courtois plus fort que la mort est-il si différent de l'amour mystique que professent les premiers jésuites qui arrivent en Chine à cette époque de la fin de la dynastie Ming ? |
Nature du document : | documentaire |
Genre : | roman |
Thème de fiction : | amour |
Date de création : | 29/09/2009 |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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R CHE | Romans | C.D.R. | 010479 | Disponible |